Die Alzheimer-Demenz hat eine skurrile Seite, die Frau Martin-Perret verwundert und verwirrt.

M-P: Mais alors au mois d’avril nous sommes allés en R [lieu], on a pris le TGV, c’était un peu desécurisant pour lui, on est allé chez une amie, ça s’est bien passé, nous étions que les trois tranquille. Et le dernier jour euh à table au moment du repas, il dit oui mes enfants ont quitté la maison, je n’ai pas femme et c’est très dur d’être seul le samedi et dimanche. Et notre amie lui ai dit mais G [nom de mari] ta femme est là. Il sourit, c’est tout. Et bon on a repris le TGV, on arrive à D [lieu], on prend un taxi puis il me dit mais où est-ce que tu habites ? J’ai dit mais j’habite avec toi, on va dans notre maison. Ah bon ! Arrivés dans la maison, il me montre toutes les pièces, comme si je ne le connaissais pas du tout. Oui alors bon, des tas de choses comme ça.