Les médecins doivent être sensibilisés au fait que la démence n’est pas une maladie anodine, estime Madame Lefebre. Ils doivent se pencher davantage sur les descriptions de symptômes de leurs patients.

L : Puis qu’on rende attentif les médecins justement que ce n’est pas une maladie anodine. Et ce n’est pas parce que des fois de l’extérieur on voit ça puis on se dit ouais c’est juste ça, c’est juste un mal de tête etc. que ça ne se résout pas si facilement que ça. Et puis d’écouter ce que la personne dit, parce que souvent, elles ont déjà dit… fait déjà des remarques, puis elles n’ont pas été entendues, parce que ça paraît banal j’ai mal à la tête ou je me souviens plus, j’ai… ah mais je t’ai déjà dit. Et ça je pense que c’est une chose qui est… pour chacun je dirais d’être attentif et peut-être à travailler plus aussi pour des médecins qui sont à l’écoute ou des thérapeutes qui sont à l’écoute suivant les patients qu’ils ont.