S’informer, selon Madame Lefebre, signifie aussi mieux comprendre son propre comportement.

L : Et puis une autre, à moment donné, bah voilà il faut que je trouve des solutions, quelle est la meilleure solution, qu’est-ce que je peux faire pour être au mieux pour continuer à être le mieux possible ; que ce soit ma vie spirituelle, bon le travail j’en ai plus [rit] mais dans d’autres situations. De rencontres ou… et ça j’essaie de privilégier quand même ces relations, tant que les gens veulent et puis viennent pas me parler toute la journée de problèmes d’Alzheimer.

I: Hhm.

L: Et puis je suis prête à aller suivre une formation… enfin une formation, non c’est trop [rit]. Un cours ou bien avoir des informations plus poussées que ce que j’ai maintenant. Ça m’aiderait à mieux comprendre certaines réactions, certaines choses que je fais, qu’est-ce que je peux faire aussi quand on me vient en aide et puis que ça colle pas ou à ce que je suis en train de vivre, mais les gens veulent m’aider. Y’a plein d’éléments comme ça qui sont à ajuster, voilà.