placeholder

Klaus K.

Expérience en médecine de soins intensifs

Âge 56

En raison de sa maladie mettant en risque son pronostic vital et des multiples interventions chirurgicales qui ont été nécessaires, M. Klaus K. a dû être placé sous ventilation artificielle plusieurs mois. Il trouve difficile d'être dépendant des autres. Il reste toujours impatient et attristé par le peu de progrès qu'il a fait malgré la rééducation. Le chemin du retour à une vie indépendante est long et épuisant.

expériences

Autres expériences

placeholder

Oskar O.

M. Oskar O., retraité, a été admis dans l'unité de soins intensifs et a dû être mis sous ventilation artificielle pendant une courte période. Après cette expérience, il a pris conscience une fois de plus de l'importance pour lui de pouvoir vivre sa vie de manière autonome.

placeholder

Petra P.

Pendant plus de 6 mois, Mme Petra P. a été traitée dans différentes unités de soins intensifs et en rééducation. Elle a quelque peu oublié ces séjours. Avec beaucoup d'efforts et de patience, elle a pu rentrer chez elle et mener une vie en toute autonomie. Elle a trouvé un grand soutien auprès de son mari et de sa famille.

placeholder

Quentin Q.

M. Quentin Q est resté une semaine en USI dont 3 jours sous ventilation mécanique et en coma artificiel. Il se souvient de l'équipe soignante mais aussi de moments d'hallucinations où il voyait différentes personnes alors que ce n'était pas possible. Le contexte COVID ne lui permettait de communiquer que par téléphone avec sa femme. Il a compris plus tard que pour elle la situation avait été très angoissante.

placeholder

Anonymus 1

Cette personne peut rester anonyme.

placeholder

Anonymus 2

Cette personne souhaite rester anonyme.

placeholder

Tabea T.

Tabea T. se souvient peu de son séjour de 2 ½ semaines en soins intensifs. Le rêve et la réalité mélangent ses souvenirs. Peut-être qu'une visite à l'unité de soins intensifs l'aiderait à faire le point sur le temps qu'elle y a passé.

placeholder

Anonymus 3

Cette personne souhaite rester anonyme.

placeholder

Anonymus 4

Cette personne souhaite rester anonyme.

placeholder

Anonymus 5

Cette personne souhaite rester anonyme.

placeholder

Yvonne Y.

Yvonne Y. a passé de nombreuses heures dans l'unité de soins intensifs pour accompagner son père pendant les semaines de sa maladie critique. Elle décrit de manière vivante les hauts et les bas émotionnels de l'époque. Elle aurait voulu un soutien professionnel de l'équipe ou un psychologue pour les patients et les proches pendant cette période difficile dans une unité de soins intensifs.

vlcsnap-2024-06-21-14h14m32s205.png

Zaccharia Z.

M. Zaccharia Z. a été intubé et placé en coma artificiel aussitôt à son arrivée à l'hôpital. A son réveil, il a mis du temps à comprendre ce qui se passait. Il a cru pendant un moment qu'il avait été kidnappé. Les soins en USI lui ont semblé très professionnels. Il note par contre que sa sortie de l'hôpital aurait pu être mieux accompagnée.

vlcsnap-2024-06-21-14h12m04s029.png

Anna A.

Mme Anna A. n'aurait jamais pensé que son opération non urgente se passerait si mal qu'elle devrait subir une autre opération d'urgence et se retrouver intubée dans un coma artificiel aux soins intensifs. Elle aurait pu mourir. Elle a également ressenti un malaise à utiliser tous ces services de santé sophistiqués et coûteux de l'USI alors que l'intervention chirurgicale qu'elle avait acceptée était à l'origine une intervention banale.

placeholder

Alain A.

Mr Alain A. ne se souvient pas de son transfert à l'hôpital. Pendant les deux semaines sous coma artificiel, il se souvient qu'il entendait les médecins et infirmières mais était incapable lui même de parler. Son réveil a été long et agité. On lui a rapporté que quand il entendait les voix de sa famille par téléphone, il bougeait les mains et son rythme cardiaque ralentissait.

placeholder

Clau C.

Le mari, âgé de 80 ans, a accompagné sa femme pendant de nombreux mois et divers séjours en USIs et à l'hôpital. Chaque jour, il a pris la route pour la soutenir dans cette période difficile et pour être là pour elle en tant qu'ami et partenaire.

vlcsnap-2024-06-21-14h12m53s652.png

Béatrice B.

Mme Béatrice B. est restée en soins intensifs pendant 1 mois, dont 3 semaines dans un coma artificiel suite à des complications postopératoires. Du point de vue de la patiente, les complications postopératoires ont été la cause de la quasi-faillite de son entreprise, mais elle est reconnaissante à l'équipe des soins intensifs d'avoir survécu.

vlcsnap-2024-06-21-14h13m13s843.png

Charles C.

M. Charles C. a fait un court séjour dans l'unité de soins intensifs (3 jours). Il était sous sédatif avec de la morphine pour gérer la douleur et soulager l'essoufflement, mais n'était pas dans un état comateux. Il a comparé ce séjour à une précédente hospitalisation d'un mois dans l'unité de soins intensifs en 2012.

vlcsnap-2024-06-21-14h15m14s296.png

Dante D.

L'aggravation de l'état de santé de Monsieur Dante D. a a nécessité son hospitalisation pour ventilation mécanique et coma artificiel. Il raconte que son expérience professionnelle lui a été utile pour comprendre et gérer les expériences vécues dans l'unité de soins intensifs. Le fait que les contacts avec les proches aient été sévèrement limités pendant la pandémie a constitué pour lui un facteur de stress supplémentaire dans cette situation critique.

placeholder

Deborah D.

Lorsque Mme Deborah D. a appris l'admission d'urgence de sa mère à l'unité de soins intensifs, elle a été sidérée. Elle et son frère savaient que leur mère ne voulait pas être intubée et maintenue artificiellement comme une personne végétative. Ainsi, après avoir appelé les urgences pour réanimer leur mère, ils n'étaient pas sûrs d'avoir pris la bonne décision. Elle s'est également demandé ce que sa mère pouvait ressentir. Comme leur mère a survécu, elle a été rassurée. Sa mère lui alors dit qu'elle n'avait jamais dit qu'elle ne voulait pas être réanimée, mais seulement que dans le cas où elle serait dans un état végétatif, elle ne voulait pas être maintenue artificiellement en vie.

placeholder

Evelyne E.

Mme Evelyn E. ne se souvient plus exactement du moment où elle a été admise dans l'unité de soins intensifs. Tout s'est passé très vite. Quand elle s'est réveillée après les deux semaines de coma, elle était très confuse. Elle fait état de sentiments de colère, de questions ou d'excuses et de l'importance de la communication dans l'unité de soins intensifs.

Image (2).png

Fabio F.

M. Fabio F. vit seul et maîtrise bien sa santé fragile. Il essaie d'éviter autant que possible les séjours à l'hôpital. Il est arrivé aux soins intensifs parce qu'il avait perdu le contrôle. Il a été mis sous sédatif mais pas dans un coma artificiel. Il compare ces trois jours en soins intensifs à un précédent séjour d'un mois en 2012... Les histoires s'entremêlent.

vlcsnap-2024-06-21-14h13m28s112.png

Georges G.

M. Georges G. a été admis aux soins intensifs à la suite d'un accident. Le diagnostic a été difficile, avec de nombreuses péripéties et rebondissements. En fin de compte, il n'est resté que 4 jours aux soins intensifs sans être intubé ni être plongé dans le coma. Les souvenirs qu'il garde de ce qu'il a vécu, de l'unité de soins intensifs et de l'équipe hospitalière sont précis.

vlcsnap-2024-06-21-14h13m51s037.png

Henri H.

M. Henri H. a été admis dans l'unité de soins intensifs pour une maladie aiguë, où il a été nécessaire de le plonger dans un coma artificiel avec respiration artificielle. Il se souvient de cauchemars et d'un état de confusion qui l'a gêné pendant très longtemps. Le séjour en soins intensifs a été long et difficile. Cependant, lorsqu'il a été capable de dessiner à nouveau, un grand pas vers la guérison a été fait. Deux mois de traitement médical intensif ont été suivis de six mois de rééducation, qui ont permis au patient de reprendre sa vie quotidienne.

placeholder

Igor I.

La lumière blanche et des souvenirs flous accompagnent M. Igor I. Après un grave accident de la route, il a été soigné dans une unité de soins intensifs pendant 3 semaines. Diverses opérations ont été pratiquées. Pour partager ces expériences dans l'unité de soins intensifs avec la nécessité d'une ventilation, une forte médication et des entraves à son autonomie, il aimerait réaliser un film.

vlcsnap-2024-06-21-16h57m09s354.png

Johanna J.

Mme Johanna J., une mère célibataire, a dû être admise en urgence dans l'unité de soins intensifs. Souffrant d'un essoufflement aigu, elle a été dépendante de la ventilation et d'un traitement médical intensif pendant de nombreuses semaines. Il lui a fallu beaucoup de patience pour supporter cette longue période sous machines, son impuissance et la rééducation qui a suivi. Elle a trouvé un grand soutien auprès de sa famille et de ses enfants.

placeholder

Lena L.

Mme Lena L. a accompagné son partenaire pendant une grave maladie neurologique ayant motivé son séjour en unité de soins intensifs et en rééducation. Elle a documenté la période pendant laquelle son partenaire a été plongé dans un coma artificiel et les nombreuses expériences inhabituelles qui ont suivi dans un journal bord.

placeholder

Markus M.

Une grande confiance en Dieu et le soutien de sa femme et de ses amis ont aidé M. Markus M. alors qu'il devait être soigné dans l'unité de soins intensifs. Une chose qui l'a particulièrement marqué, c'est l'excellent travail d'équipe qui se fait dans la clinique et la rééducation. C'est pourquoi il souhaite partager son expérience des soins intensifs avec les autres et l'équipe.

placeholder

Nikola N.

Mme Nikola N. a été traitée dans l'unité de soins intensifs après une importante opération. Ce qui la dérange le plus, ce sont les nombreux " tuyaux " et " drains " qui la faisaient souffrir. Elle se souvient également d'une grande sensation de soif et de phases de malaises intérieurs.