Les possibilités médicales et techniques permettent de plus en plus souvent aux patients de survivre à des maladies graves et autrefois mortelles. L’expérience par les patients de ces maladies graves et de leur prise en charge médicale en soins intensifs peuvent changer la vie d’une manière très mémorable.
Dans cette section, vous découvrirez comment d’autres personnes ont vécu leur séjour dans une unité de soins intensifs. Dans de courts extraits vidéo ou textuels, les patients rendent compte de leur séjour à l’unité de soins intensifs. Ils témoignent également des changements qui peuvent se produire dans la vie d’une personne après les soins intensifs.
Participant
Lorsque Mme Deborah D. a appris l'admission d'urgence de sa mère à l'unité de soins intensifs, elle a été sidérée. Elle et son frère savaient que leur mère ne voulait pas être intubée et maintenue artificiellement comme une personne végétative. Ainsi, après avoir appelé les urgences pour réanimer leur mère, ils n'étaient pas sûrs d'avoir pris la bonne décision. Elle s'est également demandé ce que sa mère pouvait ressentir. Comme leur mère a survécu, elle a été rassurée. Sa mère lui alors dit qu'elle n'avait jamais dit qu'elle ne voulait pas être réanimée, mais seulement que dans le cas où elle serait dans un état végétatif, elle ne voulait pas être maintenue artificiellement en vie.
Participant
Yvonne Y. a passé de nombreuses heures dans l'unité de soins intensifs pour accompagner son père pendant les semaines de sa maladie critique. Elle décrit de manière vivante les hauts et les bas émotionnels de l'époque. Elle aurait voulu un soutien professionnel de l'équipe ou un psychologue pour les patients et les proches pendant cette période difficile dans une unité de soins intensifs.
Participant
Une grande confiance en Dieu et le soutien de sa femme et de ses amis ont aidé M. Markus M. alors qu'il devait être soigné dans l'unité de soins intensifs. Une chose qui l'a particulièrement marqué, c'est l'excellent travail d'équipe qui se fait dans la clinique et la rééducation. C'est pourquoi il souhaite partager son expérience des soins intensifs avec les autres et l'équipe.
Participant
Yvonne Y. a passé de nombreuses heures dans l'unité de soins intensifs pour accompagner son père pendant les semaines de sa maladie critique. Elle décrit de manière vivante les hauts et les bas émotionnels de l'époque. Elle aurait voulu un soutien professionnel de l'équipe ou un psychologue pour les patients et les proches pendant cette période difficile dans une unité de soins intensifs.
Participant
Mme Lena L. a accompagné son partenaire pendant une grave maladie neurologique ayant motivé son séjour en unité de soins intensifs et en rééducation. Elle a documenté la période pendant laquelle son partenaire a été plongé dans un coma artificiel et les nombreuses expériences inhabituelles qui ont suivi dans un journal bord.
Participant
Mme Evelyn E. ne se souvient plus exactement du moment où elle a été admise dans l'unité de soins intensifs. Tout s'est passé très vite. Quand elle s'est réveillée après les deux semaines de coma, elle était très confuse. Elle fait état de sentiments de colère, de questions ou d'excuses et de l'importance de la communication dans l'unité de soins intensifs.
Participant
M. Zaccharia Z. a été intubé et placé en coma artificiel aussitôt à son arrivée à l'hôpital. A son réveil, il a mis du temps à comprendre ce qui se passait. Il a cru pendant un moment qu'il avait été kidnappé. Les soins en USI lui ont semblé très professionnels. Il note par contre que sa sortie de l'hôpital aurait pu être mieux accompagnée.
Participant
Le mari, âgé de 80 ans, a accompagné sa femme pendant de nombreux mois et divers séjours en USIs et à l'hôpital. Chaque jour, il a pris la route pour la soutenir dans cette période difficile et pour être là pour elle en tant qu'ami et partenaire.
Participant
Cette personne souhaite rester anonyme.
Participant
Mme Anna A. n'aurait jamais pensé que son opération non urgente se passerait si mal qu'elle devrait subir une autre opération d'urgence et se retrouver intubée dans un coma artificiel aux soins intensifs. Elle aurait pu mourir. Elle a également ressenti un malaise à utiliser tous ces services de santé sophistiqués et coûteux de l'USI alors que l'intervention chirurgicale qu'elle avait acceptée était à l'origine une intervention banale.
Participant
L'aggravation de l'état de santé de Monsieur Dante D. a a nécessité son hospitalisation pour ventilation mécanique et coma artificiel. Il raconte que son expérience professionnelle lui a été utile pour comprendre et gérer les expériences vécues dans l'unité de soins intensifs. Le fait que les contacts avec les proches aient été sévèrement limités pendant la pandémie a constitué pour lui un facteur de stress supplémentaire dans cette situation critique.
Participant
Mme Evelyn E. ne se souvient plus exactement du moment où elle a été admise dans l'unité de soins intensifs. Tout s'est passé très vite. Quand elle s'est réveillée après les deux semaines de coma, elle était très confuse. Elle fait état de sentiments de colère, de questions ou d'excuses et de l'importance de la communication dans l'unité de soins intensifs.
Participant
M. Charles C. a fait un court séjour dans l'unité de soins intensifs (3 jours). Il était sous sédatif avec de la morphine pour gérer la douleur et soulager l'essoufflement, mais n'était pas dans un état comateux. Il a comparé ce séjour à une précédente hospitalisation d'un mois dans l'unité de soins intensifs en 2012.
Participant
Mr Alain A. ne se souvient pas de son transfert à l'hôpital. Pendant les deux semaines sous coma artificiel, il se souvient qu'il entendait les médecins et infirmières mais était incapable lui même de parler. Son réveil a été long et agité. On lui a rapporté que quand il entendait les voix de sa famille par téléphone, il bougeait les mains et son rythme cardiaque ralentissait.
Participant
M. Georges G. a été admis aux soins intensifs à la suite d'un accident. Le diagnostic a été difficile, avec de nombreuses péripéties et rebondissements. En fin de compte, il n'est resté que 4 jours aux soins intensifs sans être intubé ni être plongé dans le coma. Les souvenirs qu'il garde de ce qu'il a vécu, de l'unité de soins intensifs et de l'équipe hospitalière sont précis.
Participant
Cette personne peut rester anonyme.
Participant
Mme Johanna J., une mère célibataire, a dû être admise en urgence dans l'unité de soins intensifs. Souffrant d'un essoufflement aigu, elle a été dépendante de la ventilation et d'un traitement médical intensif pendant de nombreuses semaines. Il lui a fallu beaucoup de patience pour supporter cette longue période sous machines, son impuissance et la rééducation qui a suivi. Elle a trouvé un grand soutien auprès de sa famille et de ses enfants.
Participant
Cette personne peut rester anonyme.
Participant
Mme Johanna J., une mère célibataire, a dû être admise en urgence dans l'unité de soins intensifs. Souffrant d'un essoufflement aigu, elle a été dépendante de la ventilation et d'un traitement médical intensif pendant de nombreuses semaines. Il lui a fallu beaucoup de patience pour supporter cette longue période sous machines, son impuissance et la rééducation qui a suivi. Elle a trouvé un grand soutien auprès de sa famille et de ses enfants.
Participant
M. Henri H. a été admis dans l'unité de soins intensifs pour une maladie aiguë, où il a été nécessaire de le plonger dans un coma artificiel avec respiration artificielle. Il se souvient de cauchemars et d'un état de confusion qui l'a gêné pendant très longtemps. Le séjour en soins intensifs a été long et difficile. Cependant, lorsqu'il a été capable de dessiner à nouveau, un grand pas vers la guérison a été fait. Deux mois de traitement médical intensif ont été suivis de six mois de rééducation, qui ont permis au patient de reprendre sa vie quotidienne.
Participant
M. Henri H. a été admis dans l'unité de soins intensifs pour une maladie aiguë, où il a été nécessaire de le plonger dans un coma artificiel avec respiration artificielle. Il se souvient de cauchemars et d'un état de confusion qui l'a gêné pendant très longtemps. Le séjour en soins intensifs a été long et difficile. Cependant, lorsqu'il a été capable de dessiner à nouveau, un grand pas vers la guérison a été fait. Deux mois de traitement médical intensif ont été suivis de six mois de rééducation, qui ont permis au patient de reprendre sa vie quotidienne.
Participant
M. Georges G. a été admis aux soins intensifs à la suite d'un accident. Le diagnostic a été difficile, avec de nombreuses péripéties et rebondissements. En fin de compte, il n'est resté que 4 jours aux soins intensifs sans être intubé ni être plongé dans le coma. Les souvenirs qu'il garde de ce qu'il a vécu, de l'unité de soins intensifs et de l'équipe hospitalière sont précis.
Participant
Une grande confiance en Dieu et le soutien de sa femme et de ses amis ont aidé M. Markus M. alors qu'il devait être soigné dans l'unité de soins intensifs. Une chose qui l'a particulièrement marqué, c'est l'excellent travail d'équipe qui se fait dans la clinique et la rééducation. C'est pourquoi il souhaite partager son expérience des soins intensifs avec les autres et l'équipe.
Participant
Mme Evelyn E. ne se souvient plus exactement du moment où elle a été admise dans l'unité de soins intensifs. Tout s'est passé très vite. Quand elle s'est réveillée après les deux semaines de coma, elle était très confuse. Elle fait état de sentiments de colère, de questions ou d'excuses et de l'importance de la communication dans l'unité de soins intensifs.
Participant
Cette personne souhaite rester anonyme.
Participant
M. Charles C. a fait un court séjour dans l'unité de soins intensifs (3 jours). Il était sous sédatif avec de la morphine pour gérer la douleur et soulager l'essoufflement, mais n'était pas dans un état comateux. Il a comparé ce séjour à une précédente hospitalisation d'un mois dans l'unité de soins intensifs en 2012.
Participant
M. Fabio F. vit seul et maîtrise bien sa santé fragile. Il essaie d'éviter autant que possible les séjours à l'hôpital. Il est arrivé aux soins intensifs parce qu'il avait perdu le contrôle. Il a été mis sous sédatif mais pas dans un coma artificiel. Il compare ces trois jours en soins intensifs à un précédent séjour d'un mois en 2012... Les histoires s'entremêlent.
Participant
La lumière blanche et des souvenirs flous accompagnent M. Igor I. Après un grave accident de la route, il a été soigné dans une unité de soins intensifs pendant 3 semaines. Diverses opérations ont été pratiquées. Pour partager ces expériences dans l'unité de soins intensifs avec la nécessité d'une ventilation, une forte médication et des entraves à son autonomie, il aimerait réaliser un film.
Participant
Mme Johanna J., une mère célibataire, a dû être admise en urgence dans l'unité de soins intensifs. Souffrant d'un essoufflement aigu, elle a été dépendante de la ventilation et d'un traitement médical intensif pendant de nombreuses semaines. Il lui a fallu beaucoup de patience pour supporter cette longue période sous machines, son impuissance et la rééducation qui a suivi. Elle a trouvé un grand soutien auprès de sa famille et de ses enfants.
Participant
Mme Anna A. n'aurait jamais pensé que son opération non urgente se passerait si mal qu'elle devrait subir une autre opération d'urgence et se retrouver intubée dans un coma artificiel aux soins intensifs. Elle aurait pu mourir. Elle a également ressenti un malaise à utiliser tous ces services de santé sophistiqués et coûteux de l'USI alors que l'intervention chirurgicale qu'elle avait acceptée était à l'origine une intervention banale.
Participant
Tabea T. se souvient peu de son séjour de 2 ½ semaines en soins intensifs. Le rêve et la réalité mélangent ses souvenirs. Peut-être qu'une visite à l'unité de soins intensifs l'aiderait à faire le point sur le temps qu'elle y a passé.
Participant
M. Henri H. a été admis dans l'unité de soins intensifs pour une maladie aiguë, où il a été nécessaire de le plonger dans un coma artificiel avec respiration artificielle. Il se souvient de cauchemars et d'un état de confusion qui l'a gêné pendant très longtemps. Le séjour en soins intensifs a été long et difficile. Cependant, lorsqu'il a été capable de dessiner à nouveau, un grand pas vers la guérison a été fait. Deux mois de traitement médical intensif ont été suivis de six mois de rééducation, qui ont permis au patient de reprendre sa vie quotidienne.
Participant
M. Charles C. a fait un court séjour dans l'unité de soins intensifs (3 jours). Il était sous sédatif avec de la morphine pour gérer la douleur et soulager l'essoufflement, mais n'était pas dans un état comateux. Il a comparé ce séjour à une précédente hospitalisation d'un mois dans l'unité de soins intensifs en 2012.
Participant
Lorsque Mme Deborah D. a appris l'admission d'urgence de sa mère à l'unité de soins intensifs, elle a été sidérée. Elle et son frère savaient que leur mère ne voulait pas être intubée et maintenue artificiellement comme une personne végétative. Ainsi, après avoir appelé les urgences pour réanimer leur mère, ils n'étaient pas sûrs d'avoir pris la bonne décision. Elle s'est également demandé ce que sa mère pouvait ressentir. Comme leur mère a survécu, elle a été rassurée. Sa mère lui alors dit qu'elle n'avait jamais dit qu'elle ne voulait pas être réanimée, mais seulement que dans le cas où elle serait dans un état végétatif, elle ne voulait pas être maintenue artificiellement en vie.
Participant
Mr Alain A. ne se souvient pas de son transfert à l'hôpital. Pendant les deux semaines sous coma artificiel, il se souvient qu'il entendait les médecins et infirmières mais était incapable lui même de parler. Son réveil a été long et agité. On lui a rapporté que quand il entendait les voix de sa famille par téléphone, il bougeait les mains et son rythme cardiaque ralentissait.
Participant
M. Henri H. a été admis dans l'unité de soins intensifs pour une maladie aiguë, où il a été nécessaire de le plonger dans un coma artificiel avec respiration artificielle. Il se souvient de cauchemars et d'un état de confusion qui l'a gêné pendant très longtemps. Le séjour en soins intensifs a été long et difficile. Cependant, lorsqu'il a été capable de dessiner à nouveau, un grand pas vers la guérison a été fait. Deux mois de traitement médical intensif ont été suivis de six mois de rééducation, qui ont permis au patient de reprendre sa vie quotidienne.
Participant
Mme Anna A. n'aurait jamais pensé que son opération non urgente se passerait si mal qu'elle devrait subir une autre opération d'urgence et se retrouver intubée dans un coma artificiel aux soins intensifs. Elle aurait pu mourir. Elle a également ressenti un malaise à utiliser tous ces services de santé sophistiqués et coûteux de l'USI alors que l'intervention chirurgicale qu'elle avait acceptée était à l'origine une intervention banale.
Participant
Mme Béatrice B. est restée en soins intensifs pendant 1 mois, dont 3 semaines dans un coma artificiel suite à des complications postopératoires. Du point de vue de la patiente, les complications postopératoires ont été la cause de la quasi-faillite de son entreprise, mais elle est reconnaissante à l'équipe des soins intensifs d'avoir survécu.
Participant
M. Quentin Q est resté une semaine en USI dont 3 jours sous ventilation mécanique et en coma artificiel. Il se souvient de l'équipe soignante mais aussi de moments d'hallucinations où il voyait différentes personnes alors que ce n'était pas possible. Le contexte COVID ne lui permettait de communiquer que par téléphone avec sa femme. Il a compris plus tard que pour elle la situation avait été très angoissante.
Participant
La lumière blanche et des souvenirs flous accompagnent M. Igor I. Après un grave accident de la route, il a été soigné dans une unité de soins intensifs pendant 3 semaines. Diverses opérations ont été pratiquées. Pour partager ces expériences dans l'unité de soins intensifs avec la nécessité d'une ventilation, une forte médication et des entraves à son autonomie, il aimerait réaliser un film.
Participant
M. Charles C. a fait un court séjour dans l'unité de soins intensifs (3 jours). Il était sous sédatif avec de la morphine pour gérer la douleur et soulager l'essoufflement, mais n'était pas dans un état comateux. Il a comparé ce séjour à une précédente hospitalisation d'un mois dans l'unité de soins intensifs en 2012.
25 expériences
La plupart des patients sont dans un état comateux, en partie dû à leur maladie, mais le plus souvent, ils sont placés dans un coma artificiel ou sous sédation profonde pendant qu'ils sont soignés dans l'unité de soins intensifs. L'absence de souvenirs est en soi une source d'incertitude pour les patients, qui découvrent progressivement une partie de leur histoire à travers les personnes qui les entourent. La subjectivité et l'objectivité s'entremêlent dans les expériences rapportées. Par conséquent, les souvenirs des patients de leur séjour en soins intensifs sont incomplets ou, pour certains, mêlés à des rêves, des hallucinations et des délires.
Markus M.
Lorsqu'il se réveille, il manque 6 semaines à la mémoire de M. Markus.
M. Markus a un vide de 6 semaines quand il se réveille. Mais, il se souvient de certains moments vécus à son chevet alors qu'il était supposé encore inconscient.
Etat de Conscience et problèmes de mémoire
Expérience en médecine de soins intensifs
16 expériences
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Deborah D.
Mme Deborah D. a trouvé une atmosphère positive.
Madame Deborah D., fille d'un patient, considère que l'atmosphère des soins intensifs était positive pour les malades.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Yvonne Y.
Mme Yvonne Y. aurait aimé avoir plus de soutien.
Mme Yvonne Y, fille, bien que confiante dans les soins pour son père, aurait souhaité plus de soutien pour elle-même.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Yvonne Y.
Mme Yvonne Y avait besoin de soutien pour elle-même.
Mme Yvonne Y, fille, bien que confiante dans les soins pour son père, aurait souhaité plus de soutien pour elle-même.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Lena L.
Mme Lena L. a souffert des longs délais d'attente et de l'incertitude.
Pour pouvoir rendre visite à son partenaire, Mme Lena L. a dû attendre longtemps devant l'unité de soins intensifs. Cela a provoqué un sentiment d'anxiété et d'insécurité.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Clau C.
M. Clau C. était mécontent des soins prodigués à sa femme aux soins intensifs.
M. Clau C., époux, était très mécontent des soins prodigués à son épouse dans l'unité de soins intensifs.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Anonymus 3
Cette personne était désespérée.
Cette personne a eu du mal a voir sa femme allongé en soins intensifs et a du maé encore à en parler.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Georges G.
M. Georges G. salue le professionnalisme de l'équipe clinique.
Monsieur Georges G. a un jugement très positif des soins intensifs: un accueil merveilleux, une équipe clinique très professionelle.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Markus M.
M. Markus M s'est toujours senti en sécurité.
Monsieur Markus M s'est senti à l'aise et en sécurité dès le début.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Evelyne E.
Mme Eveline E a des problèmes de mémoire et a l'impression que sa présence a été parfois ignorée.
Madame Eveline E entend les conversations privées des soignants qui se comportent comme si elle n'était pas présente et se sentait parfois inaperçue.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Charles C.
M. Charles C. a utilisé des écouteurs contre le bruit.
M. Charles C. a utilisé des écouteurs pour éviter d'être gêné par le bruit.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Fabio F.
M. Fabio F. entend et voit, mais accepte l'environnement non familier.
Monsieur Fabio F.mentionne les bruits et lumières des machines, le bruit des patients à côté, mais il les comprend et les accepte.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Igor I.
M. IGOR I. se souvient du plafond de la pièce et de beaucoup de bruit.
M. IGOR I. ne pouvait voir que le plafond de la pièce. Il était très sensible aux différents sons et bruits.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Johanna J.
Mme Anna A. a mentionné le bruit des autres patients.
Mme Anna A. est gênée par la proximité et l'inconfort des autres patients des soins intensifs.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Anna A.
Madame Anna A. se rappelle du bruit ,des lumières, la fatigue et son impuissance.
Madame Anna A. a été très fatiguée pendant son séjour aux soins intensifs, gênée par le bruit et les lumières, mais elle reconnait aussi une grande attention dans les soins.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Quentin Q.
Pour M. Quentin Q., tout a été rapide et confus.
Monsieur Quentin Q. se souvient que tout est allé vite et la perception du personnel et des autres patients, du personnel, reste confuse.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
Charles C.
M. Charles C parle de l'efficacité de l'équipe clinique
Malgré le bruit constant de l'USI, Monsieur Charles C. s'est senti en sécurité et a été impressionné par l'efficacité de l'équipe clinique.
Perception générale / vision globale des soins intensifs
Expérience en médecine de soins intensifs
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